La ZAD du Carnet lance un appel à témoignages. Peu importe la forme d’expression, (quelques lignes, une chanson, un dessin, une image, une banderole…) !
Que tu sois zadiste, de passage à la ZAD, riverain, soutien… Si tu t’es rendu compte que la ZAD n’a rien à voir avec la ZAD des médias, témoignes de ton expérience / ton ressenti de la ZAD du Carnet, la richesse de la lutte et de la vie sur la zone. Pourquoi tu tiens à la ZAD et ne veut pas qu’elle soit expulsée.
Qu’est ce que la ZAD a changé pour toi ?
Comment tu vois la ZAD ? (même si tu penses qu’ils sont bizarres mais gentils)
Qu’est ce qui t’as emmené sur la ZAD ? et à y rester ?
Envoies (par mail, facebook, …) ou apportes nous tout ça avant lundi 15 mars ! Mais tu peux quand même nous envoyer tes soutiens après ! 🙂
C’est très courageux et dangereux de lutter contre ce projet mais c’est très important de ne pas laisser faire ce carnage.
Au profit de projets aux vertus douteuses et floues, détruire autant d’espaces verts et humides, c’est nier les problèmes environnementaux.
Défigurez ainsi les bords de Loire est une atteinte à la santé des habitants. Le travail peut se faire ailleurs, il existe déjà ailleurs.
Il me semble que d’autres projets ont été abandonnés et heureusement et finalement grâce à des « éveillés » qui ont le courage de se dresser contre la machine infernale des Homo Sapiens Sapiens.
Les meneurs de ce projet devraient agir en conscience et non en puissance.
Je soutiens « STOP CARNET »
Salut les amis,
Je suis venue 3 jours à la zad juste avant le carnazad et suis absolument enthousiaste de ce qui ce vit là. Sourires, bienveillance, attention à chacun… tout ce qui manque dans la vie confinée qu’on nous impose, et qu’on s’est imposé déjà depuis bien des lustres.
Et aussi le dynamisme, les choses réalisées, sans patrons, institutions, décisions hiérarchiques… wouah ! Et ces braséros pour se réchauffer … où peut-on encore faire un feu ? Je ne me souviens même pas du dernier que j’ai vu, et là s’est tous les jours… On fête en ce moment les 150 ans de la Commune de Paris (mais il y en avait aussi dans d’autres villes et même une à Alger) et tout ce que j’entends des historiens relatant cet événement me fait penser aux zad. « …. un lieu où les échanges sont plus justes, et où la république est immédiate et concrète, le pouvoir directement aux mains des citoyens… »
Les zad… des laboratoires où on apprend à habiter et partager le territoire avec tous les vivants …
Il faut venir vivre cette expérience pour comprendre de l’intérieur ce qui ce vit là et je conseille aux politiques en mal d’inspiration pour imaginer un monde meilleur de venir faire un tour, et plus qu’un tour même.
Vive la Commune des Zad ! et à bientôt les amis, Marie