A 11h45, le médecin référent de la ZAD devait venir prendre en charge une zadiste blessée qui ne pouvait plus marcher. Il a été bloqué au point de contrôle de la gendarmerie, et empêché d’intervenir. Après négociation, les gendarmes ont demandé à ce qu’un zadiste accompagne la blessée directement au point de contrôle pour qu’elle soit prise en charge par les pompiers. Les gendarmes ont imposé que l’on appelle pas les secours avant l’arrivée de la zadiste au point de contrôle. Au final, la prise en charge de la blessée aura été retardée de plus d’une heure et demi.
Il est inacceptable et dangereux que les déplacements soient bloqués lorsqu’il s’agit de raisons médicales !