« Ce qui est compliqué, ce n’est pas la Zad qui existe, c’est la deuxième Zad qui a été faite, selon moi, par le préfet, qui a encerclé tous les villages autour par les gendarmes, poursuit Manoël Relet. Il n’y a que les riverains qui sont acceptés. On est arrêté et fouillé à chaque fois, il faut justifier nos transports. Dimanche prochain, on fête l’anniversaire de ma fille. On m’a répondu d’écrire au maire, avec une liste d’invités, et lui pourra me donner son accord ou non pour que ces gens-là puissent venir chez moi. »
Pour rappel, un riverain du Carnet s’est exprimé sur la restriction de libertés subie par les riverain.e.s : Voisin de la Zad du Carnet, il dénonce des restrictions de liberté « ordonnées par le préfet » de la Loire-Atlantique
Merci à Massalak Tue pour ce bel hommage !